Jessic@tic c’est moi, Jessica Labanne, digitaLAB c’est mon activité professionnelle
J’ai peut être quelques Troubles Involontaires Compulsifs, mais ici TIC veut dire Technologies de l’Information et de la Communication.
Autrement dit l’informatique, l’Internet et les télécommunications comme on les appelait au siècle précédent… Je suis née lors de ce siècle, dans un monde pas encore scruté par les écrans, leurs caméras et leurs micros. J’ai vu arriver ces outils avec curiosité et intérêt.
J’aime utiliser ces technologies, que ce soit les ordinateurs, les smartphones, les consoles de jeux, les bornes interactives, les services en ligne, les tablettes ou les appareils photo numériques. J’ai des aptitudes naturelles à les prendre en main

Je suis médiatrice numérique . J’accompagne toute sorte de personnes, enfants, jeunes, adultes, seniors, avec des niveaux différents dans leur compréhension et usage d’internet et des outils numériques.
Je les aide à utiliser les ordinateurs, tablettes ou smartphone et Internet pour réaliser leurs démarches, besoins et envies.
J’aime les machines et les humains, je travaille à faciliter leur relation dans le but de faire aboutir des projets personnels, associatifs ou professionnels.
En dehors de mon travail, j’explore et j’utilise les possibilités offertes par les TIC au sein des associations pour lesquelles je suis bénévole mais aussi dans ma famille, auprès de mes enfants qui sont eux aussi des geeks en puissance.
Les enjeux de l’Internet sont capitaux, notre inter-connexion quasi-permanente provoque une véritable révolution de notre quotidien et de notre relation aux autres.
Les adolescents s’ils sont nés avec ces technologies et qu’ils n’ont pas de réticence à leur manipulation ne sont pas pour autant en capacité d’en saisir les tenants et les aboutissants, il est capital de leur assurer un accompagnement dans leurs usages.
Les parents de ces générations sont souvent démunis face aux pratiques des jeunes et il est essentiel de leur fournir les cartes qui leurs permettront de rester dans leur rôle d’éducateur.
Les enjeux de l’Internet sont capitaux, notre inter-connexion quasi-permanente provoque une véritable révolution de notre quotidien et de notre relation aux autres.
Les adolescents s’ils sont nés avec ces technologies et qu’ils n’ont pas de réticence à leur manipulation ne sont pas pour autant en capacité d’en saisir les tenants et les aboutissants, il est capital de leur assurer un accompagnement dans leurs usages.
Les parents de ces générations sont souvent démunis face aux pratiques des jeunes et il est essentiel de leur fournir les cartes qui leurs permettront de rester dans leur rôle d’éducateur.
Pourquoi choisir « digitaLAB » pour mon activité ?
Il fallait bien trouver un nom pour mon activité professionnelle, un nom qui soit en lien avec ce que je fait… de la pédagogie et de l’accompagnement autour du numérique.
Mon choix s’est arrêté sur : digitaLAB. Ok ! Mais pourquoi ?!?
Digital
Définition
1 : (Anatomie) Qui appartient aux doigts
2 : (Anglicisme) Numérique (en anglais, digit est utilisé pour chiffre)
Attention ! On ne dit pas !
L’académie française nous rappelle à l’ordre : « L’adjectif digital en français signifie « qui appartient aux doigts, se rapporte aux doigts ».
Il vient du latin digitalis, « qui a l’épaisseur d’un doigt », lui-même dérivé de digitus, « doigt ». C’est parce que l’on comptait sur ses doigts que de ce nom latin a aussi été tiré, en anglais, digit, « chiffre », et digital, « qui utilise des nombres ».
On se gardera bien de confondre ces deux adjectifs digital, qui appartiennent à des langues différentes et dont les sens ne se recouvrent pas : on se souviendra que le français a à sa disposition l’adjectif numérique. »
Et pourtant !
Quand je regarde ma tablette ou mon smartphone, qu’est ce qu’il peut y avoir comme traces de doigts !!!
Plus sérieusement, et c’est bien un membre de l’Académie Française qui m’a inspiré à utiliser « digital » non seulement pour son anglicisme et le fait qu’il s’agit de numérique, mais pour une bien meilleure raison encore.
Il s’agit de Michel Serres, cet incroyable monsieur ! Philosophe historien et homme de lettres français, visionnaire et incorrigible optimiste, il est l’auteur de « Petite Poucette » en 2012.


Petite Poucette est la représentante d’une société en pleine mutation : c’est une femme, elle est jeune et elle utilise ses pouces à la vitesse de l’éclair pour accéder au savoir mondial qu’elle tient entre ses mains et se connecter à ses pairs.
Concernant les doigts et leur rapport au numérique, Antonio Casilli les évoque aussi comme élément primordial du Digital Labor :
dans l’instant M de France Inter ce 16 janvier 2019
https://www.franceinter.fr/emissions/l-instant-m/l-instant-m-16-janvier-2019
& LAB
Définition :
« Traduit en français par laboratoire. Ce terme désigne un dispositif permettant de créer à plusieurs un grand nombre d’innovations faciles à expérimenter par les usagers. Le lab favorise la conception de produits, de services, de nouvelles technologies ou encore d’inventions utiles d’un point de vue social. Il engage à étudier les comportements des utilisateurs, des consommateurs et à trouver des solutions pour les faire évoluer. Il en découle naturellement l’apparition de nouveaux marchés à exploiter. Le lab est ouvert, flexible et participatif. Il aide à développer des idées, des pensées, des concepts en fournissant les outils nécessaires à leur mise en pratique. Il est un mode de réflexion fiable et attractif. Ce terme est employé dans des expressions variées et utilisé à différentes fins. » Source
Bon, ce sont aussi les 3 premières lettres de mon nom de famille… 

Pour aller plus loin
www.dmoz.fr : le-digital-tout-le-monde-en-parle-mais-au-fait-cest-quoi
Le blog de Natty Seydi avec un article très clair sur le digital et ses métiers
J’ai d’autres passions que les TIC, qui ne nécessitent pas d’électricité, mais ça c’est une autre histoire…